La pomme de terre est en péril : Péril économique tout d’abord puisque le confinement a mis fin aux éternelles frites des restos

Déconfinés et demain ? : Le déconfinement commence. L’heure est venue de retourner au travail pour certains. D’autres devront encore attendre.

L’autodafé de la page blanche : Après avoir traité mes manques d’inspiration avec angoisse, puis avec désinvolture, voici le temps de la colère.

Guerre et thérapie : Dans cette “guerre”, certains déploient des trésors d’imagination pour trouver le remède, la solution miracle.

Les oubliés de la crise sanitaire : Petits boulots dépassés ou marchands de bien désormais inutiles, qui se soucie aujourd’hui de ces laissés pour compte ?

Murphy a survécu ! : Murphy, vous savez celui qui, jour après jour, s’ingénie à nous pourrir la vie au nom de ses lois si fameuses, est toujours vivant !

un télé-monde : Pour échapper au virus, on prône la distanciation sociale (quel vilain mot). Par nos peurs on nous fait nous calfeutrer.

La folie des masques

En route pour le 11 mai, la course aux masques est commencée. Chacun est prié de s’équiper ou d’équiper les autres.

Confits ou confinés ? Cette longue période d’enfermement nous amène à évoluer et notre perception de ce qui nous entoure se transforme.

La recherche coronavirus est l’Eldorado d’aujourd’hui. C’est elle qui fait se lever tous les chercheurs et les illuminés.

La tentation du contrôle : Dans nos sociétés hyper-connectées, la surveillance de masse est devenue techniquement facilement accessible. Ce n’est désormais qu’une question de moyens, matériels et humains.

Le look confiné : Confinés comme nous le sommes, nous prêtons sans doute moins d’attention à notre apparence. Nos interactions sociales se sont réduites au strict minimum.

Coupables : En cherchant bien, il est facile de trouver un coupable, puis plusieurs, puis tellement que nos certitudes s’effacent, que le doute perdure. A qui la faute ?

J33 : Le chemin de l’école. C’est une première, une sorte de rentrée des classes virtuelle, un poisson d’avril retardataire.

Formules de politesse : Les formules toutes faites qui émaillent nos mots, écrits ou non, n’ont pas échappé à la crise sanitaire en cours.

Oxymore : Cette période est décidément surprenante en tout. Notre langage n’échappe pas à la règle et s’enrichit de termes contradictoires..

Désinvolture : Depuis mon magistral (on n’est jamais mieux servi que par soi même) article sur l’angoisse de la page blanche, j’ai travaillé. J’ai appris à ne plus m’en faire.

Confinement à géométrie variable : Plus le temps passe, plus il devient difficile à certains de rester stoïques face au confinement. La tentation devient terrible de braver le virus.